L’une des initiatives de la Commission européenne contre la diffusion en ligne de fausses nouvelles implique la création d’un groupe d’experts d’ici la mi-décembre.
Pendant près d’un an, presque chaque jour, de fausses nouvelles sont inventées, inventées pour attirer l’attention du lecteur dans le but d’augmenter artificiellement le nombre de visiteurs. Les soi-disant fake news existent également dans le monde off-line (par exemple, dans les journaux traditionnels), mais la propagation principale est principalement à travers les médias sociaux.
La Commission européenne a décidé de créer un groupe d’experts et de lancer une consultation publique pour trouver une solution au problème.
Frans Timmermans, vice-président de la Commission, a déclaré que la liberté d’information et le pluralisme des médias sont consacrés dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, mais qu’il est nécessaire de donner aux citoyens les moyens d’identifier les fausses nouvelles etgérer les informations qu’ils reçoivent.
Andrus Ansip, vice-président de la Commission et commissaire chargé du marché numérique, souligne également la nécessité de trouver le juste équilibre entre la liberté d’expression, le pluralisme des médias et le droit des citoyens à des informations différentes et fiables.
Le Parlement européen a invité la Commission à analyser en détail la situation juridique actuelle et le cadre juridique en ce qui concerne les fausses nouvelles, en vérifiant la possibilité d’une action législative pour en limiter la diffusion. La première initiative de la Commission consiste en la création d’un groupe d’experts représentant le monde académique, les plateformes en ligne, les médias et les organisations de la société civile, dont la tâche sera de les aider à délimiter le phénomène, à définir les responsabilités des parties prenantes, la dimension internationale, la position des positions exprimées et la formulation de recommandations. Les demandes peuvent être soumises jusqu’au 11 décembre. Le groupe devrait devenir opérationnel à partir de janvier 2018.
L’objectif de la consultation publique est plutôt de recueillir des avis sur les actions que l’Union européenne peut entreprendre pour fournir aux citoyens des outils leur permettant de trouver des informations fiables et vérifiées. Citoyens, médias sociaux, agences de presse (diffuseurs, agences de presse, agences de presse, médias en ligne), chercheurs et autorités publiques peuvent contribuer à trois domaines principaux: l’ampleur du problème, l’évaluation des mesures déjà prises pour lutter contre diffusion en ligne de fausses nouvelles et d’actions futures possibles. La consultation est ouverte jusqu’au 23 février 2018.
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